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Pour nos Tomodachi Automne 2016
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2360 00050 00040 00030 00020 00010 000020112014(en KES*)Revenu moyen des familles d’agriculteursAprèsle projetSHEPAvantle projetSHEP1. Arisa Kikuchi s’occupe d’une formation dont l’objectif est de diffuser l’approche du projet SHEP dans différents pays d’Afrique. Elle travaille en collaboration avec des fonctionnaires du gouvernement kényan et des spécialistes de la JICA, tous membres du SHEP. 2. Un marché du Kenya : grâce au SHEP, les agriculteurs sont en contact direct avec le marché et ils peuvent choisir des acheteurs proposant des prix intéressants au lieu d’être obligés de passer par des intermédiaires. 3. Pendant les séances de formation sur les questions de genre, destinées aux couples d’agriculteurs, les deux époux sont invités à dresser par écrit la liste de leurs dépenses et de leurs tâches quotidiennes pour clarifier la situation. L’attitude des maris a, semble-t-il, tendance à changer lorsqu’ils se concentrent sur l’objectif commun du couple : augmenter ses revenus. 4. Entre 2011 et 2014, le revenu réel horticole par agriculteur a augmenté de 58 %.Source : données tirées d’interviews d’agriculteurs et de conseillers agricoles réalisées par des membres du SHEP Notes : les chiffres ont été corrigés en fonction de la variation des prix à la consommation.*KES = shilling kényan10 000 KES = environ 120 USD en mars 2014.1243Arisa KikuchiTitulaire d’un diplôme d’agriculture de troisième cycle. En étudiant les relations entre les agriculteurs et les marchés, Arisa Kikuchi a eu envie de s’impliquer dans des activités de coopération internationale liées à l’agriculture. En 2009, elle est entrée à la JICA où elle a commencé par travailler dans le secteur du développement agricole et rural en Asie du Sud. De 2014 à 2016, elle a séjourné au Kenya où elle a travaillé en tant que spécialiste chargée de la promotion du projet SHEP.
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